Plusieurs œuvres d’Andréanne Godin soulignent combien le territoire s’incruste dans notre mémoire, au fil de souvenirs d’activités journalières ou saisonnières qui se cristallisent sous forme de sédiments dans notre psyché(1). Son travail atteste également des deuils et des déracinements qui affectent la plénitude de cette géologie intime. Dernier texte d’une série en deux temps.